La nuit tombait sur Venise, et la tisserande continuait son business dans l’ombre tamisée de son manufacture. Son poste à enjoliver, fidèle chien ou chat de ses voyances silencieuses, laissait se modifier des fils d’or et de soie entre ses main. Le tissu qu’elle créait semblait vibrant, presque en vie, https://danteqbhln.idblogz.com/34293057/les-fils-de-la-destinee